bécanes

VFR Saga Episode 2 : la route

 

Il y a fort longtemps, je vous narrais par le menu la resto de mon VFR. Une aventure pas comme les autres, comme en ont pourtant vécu pas mal de motards piqués par le virus de la collection, en passant par la case « bouclar,-mécanique-et-graisse-tout-partout ».

Je me remémore ces heures à la fois douloureuses et glorieuses d’un passé à jamais révolu. Le bouclar a fermé et j’en suis à me demander si une moto de collection passera le fameux « Contrôle » qui n’aura de technique que le nom. 

J’avais posté un article qui s’intitulait VFR Saga, Episode 1 : le garage. La suite devait être consacrée à une sorte de test de la machine. Mais je n’ai pas d’équipe pour me filmer avec un drone quand je vais acheter un pack de bière à moto. Et j’ai sûrement dû vous livrer mes impression, de-ci, de-là, au grès de mes publications.

Photo by Ophélie Vinot. @copyright Oovango. Le casque de Goose, par contre, je l’ai fait avec mes petites mains.
Tu m’as grillé le stop, mais là tu fais moins ton malin hein?
Et Ouais je sais pencher ma meule dans les rampes de la Montagne, avec une Go Pro qui pique du nez et que je dois remonter de l’autre main, j’aimerais bien t’y voir, tiens…
Sur le plat en zone résidentielle je sais aussi semer la terreur.
J’ai même réussi à ressusciter l’optique (anyway j’en ai deux autres au garage)
Allez viens sur mon siège passager. tu verras, tu ne vas pas le regretter 🙂

Mais quand même, je me dis que je vous ai fait louper un épisode. Celui où je vous raconte que cette petite roquette blanche me donne autant de plaisir qu’un single fin vintage lancé à fond dans la Gauche de St Leu. Celui où je sens, juste sous mes cojones, vibrer le moteur suspendu au rythme de sa sublime cascade de pignons. Vénérable, mais inégalable. Une horloge made in Grand Seïko. Et aussi ces moments bénis où les jeunes motards qui pilotent des bolides contemporains me font de grands signes d’approbation quand ils me dépassent (je pourrais les déposer mais je tiens à mon permis). Bref, j’en rêvais, et Ophélie l’a fait. Je peux vous avouer que j’ai vraiment souffert du complexe de l’arroseur arrosé. Quand tu as passé près de 10 ans à interviewer de solides gaillards pour qu’ils te parlent de leur commande suicide et de l’insularité motarde, et qu’une jeune motarde, cool et intelligente, te coince entre une camera et un gros objectif pour te demander très professionnellement pourquoi tu fais ça, comment dire…y a comme un trac qui s’installe. 

En effet, Ophélie VINOT, une journaliste du Blog Auto-moto d’Outre Mer OOVANGO, m’a contacté pour parler de ma moto en particulier et de ma passion des deux roues en général. Toujours soucieux d’aider la jeunesse, et obsédé par la mission qui consiste à montrer que les motards et préparateurs péi sont au top,  j’ai accepté, malgré mon humilité légendaire (là, il y a une contradiction logique : sauras-tu la retrouver?). Et, comme je suis vraiment très très humble (et surtout très très foutrax), j’ai oublié, à l’époque (c’était en mars dernier quand même), de communiquer sur le blog de mes lecteurs préférés. J’ai posté des liens sur FB et Insta, mais vous connaissez le dicton : « Si c’est pas sur Clay Motor Cycles, c’est pas pour les vrais motards. » Du coup, avant de vous parler du dernier article de Oovango concernant le vélo électrique et la mobilité Outremer, je vais vous faire découvrir ce super site web (normal : ils causent de moi et, surtout, de plein d’autres passionné(es) qui font chauffer la gomme dans les Dom-Tom).

Notre époque, un peu TIK et très TOK , se moque des mots, et même des photos, alors voici enfin une vidéo Youtube où je ne fais pas l’idiot ! Je vous recommande de ne rien écouter de mes « la di la fé », et de vous concentrer sur le son du moteur Honda : une pure symphonie nippone, un son de Porsche Carrera 80’s. La sonorité que vivait un motard qui lisait les BD de Margerin et celles du Joe Bar Team. C’est ce genre de vibrations que je ressens entre mes jambes quand je me cale sur ce beau cheval blanc. On entend le son du moulin au tout début, puis à 7mn 11 vous la verrez en action, attaquant les rampes de la Montagne. D’une main je relevais la Go Pro qui piquait du nez sur ma poitrine et de l’autre je tentais de piloter : un bon souvenir!

Bref, vas vite chercher ton distributeur de kleenex : la VIDEO est làààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààààà : 

Alors???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

Clay? Pffff, juste un poseur! Un influenceur pour boomers pollueurs !

Si vous n’avez pas décroché, vous savez désormais que, non seulement j’aime écrire, mais encore je suis un incorrigible bavard !

 

Si ça vous saoule et que vous préférez lire, cela tombe bien : Ophélie écrit très bien :

Clay, sa moto VFR de 1986 et ses multiples passions 

Enfin, à propos de l’Episode 1 de la saga, pour ceux qui n’y connaissent rien en moto (ce qui est pardonnable), ou en VFR (ce qui pose déjà un sérieux problème) ou carrément en Blog Claymotorcycles (disons-le tout net : c’est scandaleux!), tout est là :

VFR Saga Episode 1 : le garage.

Prochain post : toujours Oovango, mais à propos de leur génial article sur les putains de bouchons de caisseux et le vélo en Outremer.

A très bientôt mes chouchous à moi 😉

 

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